Le dispositif français d’affichage environnemental évalue l’impact des produits alimentaires sur la planète et les hommes et le synthétise sous forme d’étiquette pour permettre à tous de mieux choisir ses produits.
Conçu par des scientifiques et experts soucieux de l’intérêt général, et soutenu par un large collectif de la société civile, le Planet-score® est une méthodologie indépendante et transparente, destinée à l’étiquetage environnemental des aliments. Elle mobilise les bases de données d’État (Agribalyse ADEME), et les complète avec des indicateurs complémentaires pour refléter tous les enjeux, sans tabou, sans greenwashing, et avec un niveau d’exigence élevé, du champ jusqu’à l’assiette. Le Planet-score® inclut les impacts sur la totalité du cycle de vie des aliments : de la production aux emballages, en passant par l’énergie et le transport.
L’étiquette Planet-score® donne des clés pertinentes aux citoyens pour choisir, et aux entreprises pour agir. Pour contribuer au quotidien à lutter contre le déclin de la biodiversité, le changement climatique, la déforestation, les pollutions de l’eau et de l’air.
L’ITAB et Very Good Future œuvrent pour développer le Planet-score, en lien avec le bureau d'études spécialisé Sayari et en coopération étroite avec la société civile. Un grand nombre d’ONG de protection de l’environnement, d’associations de consommateurs et d’acteurs engagés dans la transition ont apporté leurs expertises et contributions pour l’élaboration du dispositif, et sont associés aux développements et réflexions pour maintenir le niveau d’exigence le plus élevé sur les enjeux environnementaux et sociétaux clés.
Le cahier des charges bio proscrit les pesticides de synthèse au champ et au stockage.
Les poules ont accès à l’extérieur. Les émissions de nitrates, qui contribuent notamment à la dégradation de la qualité de l’eau, sont ainsi fortement réduites.
Le cahier des charges bio proscrit l’usage d’OGM.
Les émissions d’ammoniac sont limitées par l’accès à des parcours extérieurs des poules.
En bio, les animaux sont alimentés en priorité avec des produits de la ferme ou des productions régionales. De façon générale, les conditions de production sont encadrées par le cahier des charges bio européen. Ainsi l’aliment des animaux n’engendre pas de déforestation.
Les poules ont accès à l’extérieur (4m² par poule !) et sont au maximum 6 par m² dans les bâtiments.
En bio, les sols dans les bâtiments sont paillés, pour optimiser le confort des poules.
La ration des poules contient du soja sud-américain traité au glyphosate, et des céréales également traitées (au champ et au stockage en silo).
Les poules sont nourries notamment avec du soja sud-américain OGM. Ce soja contribue à l’érosion de la biodiversité sauvage et cultivée, et à la destruction de la forêt amazonienne pour développer cette culture. Car le soja est commandé massivement, par les pays européens notamment, pour nourrir le bétail. Des alternatives existent pour alimenter les animaux de ferme autrement, notamment avec des cultures produites en France et en Europe. Elles sont en cours de développement, mais sont encore insuffisamment répandues. Des plans d’Etat ont été mis en place pour accompagner ce développement.
Les poules pondeuses consomment essentiellement des céréales. Les surfaces dédiées à leur alimentation sont en concurrence directe avec celles consacrées à l’alimentation humaine. Cette consommation de surface se fait au détriment d’espaces naturels sauvages.
Les antibiotiques sont aujourd’hui davantage utilisées en élevage qu’en médecine humaine, et cette utilisation très importante provoquent des risques d’antibiorésistance. L’Etat pilote un plan Eco-AntiBio pour tenter de réduire significativement cet usage, qui dépend en partie de la densité des élevages.
Les élevages industriels de poules pondeuses émettent de fortes quantités d’ammoniac et de nitrates, qui lorsqu’ils sont très concentrés contribuent notamment à la dégradation de la qualité de l’eau et de l’air.
Les effluents des élevages industriels peuvent générer des pollutions de l’eau (nitrates et phosphates), qui peuvent par exemple provoquer des marées d’algues vertes sur le littoral.
Les élevages industriels de poules pondeuses produisent de l’ammoniac (qui dégrade la qualité de l’air via les particules fines).
La ration des poules contient du soja sud-américain et contribue ainsi à la destruction de la forêt amazonienne.
Les poules n’ont aucun accès à l’extérieur, elles sont en cages et n’ont que l’espace d’une feuille A4 chacune pour se mouvoir. L’Allemagne a décidé de totalement interdire ce mode d’élevage d’ici 2025. Plusieurs distributeurs français sont engagés également dans cette démarche à court ou moyen terme
Du fait de la densité, les poules deviennent agressives. Leur bec est épointé pour limiter les blessures infligées à leurs congénères et éviter le cannibalisme.
Le cahier des charges bio proscrit l’utilisation de pesticides de synthèse.
Le cacao de ce chocolat provient d’Afrique de l’Ouest. Sans engagements sur les enjeux de préservation de la forêt, il affecte des écosystèmes tropicaux forestiers très riches en espèces menacées.
Le cacao de ce chocolat a été produit en Afrique de l’Ouest, dans des régions où les forêts sont massivement coupées pour développer cette culture. Un changement d’approvisionnement, et une certification « zéro déforestation », permettraient d’améliorer le Planet-score.
La culture du cacao subit de nombreux traitements, notamment fongicides. Et le sucre issu de betteraves sucrières est également produit avec un recours importants aux pesticides, notamment aux insecticides néonicotinoïdes tueurs d’abeilles.
En raison de la déforestation provoquée par la culture du cacao, et des techniques de production du sucre de betteraves, la nature est fortement impactée par ce produit et le score biodiversité est très dégradé
Le cacao de ce chocolat a été produit en Afrique de l’Ouest, dans des régions où les forêts sont massivement coupées pour développer cette culture. Un changement d’approvisionnement, et une certification « 0 déforestation », permettraient d’améliorer le Planet-score. Également, la canne à sucre vient d’Amérique du Sud, de régions qui détruisent également la forêt pour augmenter les surfaces de cette production.
La poudre de lait utilisée dans ce chocolat provient de vaches qui restent en permanence en bâtiment et ne broutent jamais en extérieur dans les prés.
Le cahier des charges bio proscrit l’utilisation de pesticides de synthèse.
Pour limiter l’impact sur la forêt, le cacao de ce chocolat a fait l’objet d’un programme de préservation de la forêt, basé sur une agroforesterie (association cacaotier/forêt) extensive pour protéger les équilibres naturels.
Pour éviter de déboiser, la culture de ce cacao et du sucre ont fait l’objet de programmes de préservation. Cela évite des émissions de gaz à effets de serre souvent liées à ces cultures.
Les noisettes mises en œuvre dans cette pâte à tartiner viennent d’Italie et non de destinations plus lointaines.
L’absence d’usage d’engrais de synthèse, interdits en Bio, évite la consommation d’énergie fossile (il faut 1L de gaz pour produire 1kg d’engrais de synthèse). Cela évite par ailleurs l’émission de protoxyde d’azote, gaz à effet de serre très puissant (le plus important dans le secteur agro-alimentaire).
Le cahier des charges bio proscrit l’utilisation de pesticides de synthèse.
Le sucre de cette pâte à tartiner provient d’Amérique du Sud, le cacao d’Afrique de l’Ouest. En l’absence de garanties, ces ingrédients contribuent à la déforestation de forêts tropicales et à la mise en danger d’espèces menacées.
Les noisettes de cette pâte à tartiner proviennent de pays hors UE qui n’ont pas une politique environnementale aussi ambitieuse que les pays européens dans lesquels ces noisettes pourraient être produites.
Le sucre de cette pâte à tartiner provient d’Amérique du Sud, le cacao d’Afrique de l’Ouest. En l’absence de garanties, ces ingrédients contribuent à la déforestation de forêts tropicales sur ces deux continents. Cette destruction de ces forêts émet beaucoup de CO2 et participe au dérèglement du climat.
En bio, l’interdiction des engrais de synthèse évite l’usage d’énergie fossile et l’émission de protoxyde d’azote, gaz à effet de serre puissant.
Cette pâte à tartiner contient surtout du sucre de betterave, du cacao, des noisettes et de l’huile de palme. La culture du cacao est très traitée avec notamment des fongicides. Les cultures de noisettes sont désherbées et et les insectes sont éliminés par des traitements chimiques. La betterave à sucre reçoit aussi beaucoup de traitements, notamment avec des insecticides néonicotinoïdes (tueurs d’abeilles) et avec des herbicides. Ainsi, les ingrédients principaux de cette pâte à tartiner nécessitent lors de leur production des doses importantes de pesticides.
Le sucre contenu dans cette pâte à tartiner provient de betteraves cultivées en Europe dans de très grandes parcelles. Leur culture nécessite un travail du sol intense et l’usage d’intrants (engrais de synthèse…) qui impactent négativement la biodiversité du sol (vers de terre…). Or cette biodiversité est à la base de toutes les chaines alimentaires. Sa mise en danger affecte la totalité des espèces. Pour assurer la durabilité de notre alimentation, il est fondamental de préserver la biodiversité du sol et de maintenir les sols vivants.
Le sucre contenu dans cette pâte à tartiner provient de betteraves cultivées en Europe dans de très grandes parcelles (sans haies). L’absence de haies diminue la capacité de régulation biologique de l’écosystème agricole.
Le cacao provient d’Afrique de l’Ouest, l’huile de palme d’Indonésie. En l’absence de garanties, ces ingrédients contribuent à la déforestation de forêts tropicales et à la mise en danger d’espèces menacées.
Cette pâte à tartiner contient notamment de l’huile de palme et du cacao. Pour servir le marché de l’huile de palme, l’Indonésie dévore sa forêt. La Côte d’Ivoire fait de même pour son cacao. La destruction de la forêt émet des gaz à effet de serre ce qui contribue au dérèglement climatique.
Le cahier des charges bio proscrit l’usage de pesticides de synthèse.
Dès que les conditions climatiques le permettent, les vaches sont au pré en bio.
Souvent, les éleveurs ont aménagé les parcelles pour le confort des vaches, avec des haies et des arbres.
Ces conditions ont des effets positifs sur la totalité de l’environnement et la biodiversité.
En bio, en cas de problèmes de santé, les éleveurs privilégient la phytothérapie. L’usage des antibiotiques est strictement encadré et limité.
Les vaches ont accès aux prairies une grande partie de l’année. Les émissions d’ammoniac qui contribuent à la formation de particules fines et donc à la dégradation de la qualité de l’air, sont ainsi fortement réduites, de même que les pollutions dues aux nitrates.
L’épandage du fumier de ferme pour fertiliser les champs émet 2,7 fois moins de protoxyde d’azote que les engrais de synthèse. Le protoxyde d’azote est un gaz à effet de serre extrêmement puissant (~300 fois plus que le CO2), et il est le premier gaz à effet de serre pour le secteur agricole et agro-alimentaire : il représente 45% du total des émissions de ce secteur. La production des engrais de synthèse nécessite en outre beaucoup d’énergie fossile. Il faut 1L de gaz (souvent Russe) pour produire 1kg d’engrais azoté de synthèse. Il n’est pas rare que des cultures non bio reçoivent plus de 100kg d’engrais azotés par hectare.
Les prairies pâturées sont d’importants puits de carbone. Ce type d’élevage et d’agriculture contribuent à l’atténuation des émissions des gaz à effet de serre du système agroalimentaire.
Dans cet élevage, la vache vit une vie de ruminant normale: elle mange très majoritairement de l’herbe et est au pré dès que la météo le permet. Ici par exemple, les vaches passent 9 mois par an dans les prés. L’alimentation à base d’herbe et de foin est un élément très important pour le bien-être et la santé des herbivores.
La ration des vaches contient du soja sud-américain traité au glyphosate, et des céréales également traitées (au champ et en silos de stockage).
L’élevage laitier intensif a souvent recours aux antibiotiques pour traiter les infections du pis des vaches. Ces infections sont fréquentes chez les vaches sélectionnées pour la production laitière intensive et nourries avec une alimentation déséquilibrée par rapport à leur optimum de santé (faible part d’herbe et de foin, beaucoup de céréales). Les antibiotiques utilisés en élevage entraînent des risques d’antibiorésistance humaine (cf. plan gouvernemental Eco-Antibio).
Les effluents des élevages intensifs génèrent des pollutions azotées et phosphorées de l’eau (nitrates et phosphates), qui peuvent par exemple provoquer des proliférations d’algues vertes sur le littoral.
Les élevages intensifs de vaches laitières émettent de fortes quantités d’ammoniac. Très concentré, ce gaz participe à la production de particules fines et donc à la dégradation de la qualité de l’air.
Les vaches sont nourries notamment avec du soja sud-américain OGM. Ce soja contribue à l’érosion de la biodiversité sauvage et cultivée, et à la destruction de la forêt amazonienne pour développer cette culture. Car le soja est commandé massivement, par les pays européens notamment, pour nourrir le bétail. Des alternatives existent pour alimenter les animaux de ferme autrement, notamment avec des cultures fixatrices d’azote, comme le soja, produites en France et en Europe. Elles sont en cours de développement, mais sont encore insuffisamment cultivées aujourd’hui pour assurer l’autonomie alimentaire des troupeaux européens (et de loin!). Des plans d’Etat ont été mis en place pour accompagner ce développement.
Les vaches laitières en conduite intensive consomment beaucoup de céréales et de grains. Les surfaces dédiées à leur alimentation sont en concurrence directe avec celles consacrées à l’alimentation humaine. Cela n’est pas le cas lorsque les vaches sont nourries avec l’herbe de prairies permanentes.
Le soja qui sert à alimenter les vaches est issu d’Amérique du Sud, de régions qui détruisent la forêt amazonienne pour implanter toujours davantage de cette culture fortement demandée par l’Europe pour la nourriture du bétail. Cette déforestation pourrait être évitée puisque des cultures alternatives pour remplacer ce soja d’Amérique du Sud existent en France et en Europe. La relocalisation de la production des protéines pour l’élevage sur le sol européen sera indispensable pour faire cesser la déforestation.
Les cultures céréalières consommées en général par les élevages laitiers intensifs recourent de façon importante aux engrais azotés de synthèse. La production des engrais de synthèse nécessite beaucoup d’énergie fossile. Il faut 1 tonne de gaz en équivalent pétrole (souvent Russe) pour produire 1 tonne d’engrais azoté de synthèse. Il n’est pas rare que des cultures non bio reçoivent plus de 100kg d’engrais azotés par hectare.
Lors de la rumination, les vaches produisent du méthane, un important gaz à effet de serre pour l’agroalimentaire. C’est le deuxième du secteur après le protoxyde d’azote qui lui est lié aux engrais de synthèse.
Les fortes émissions globales de gaz à effet de serre de ce système d’élevage ne sont pas compensées par le stockage de carbone, car cet élevage n’est pas lié à de la prairie.
L’élevage qui produit ce yaourt maintient ses vaches en permanence en bâtiment, elles ne voient jamais la prairie.
Du fait de la densité qui engendre de la nervosité dans le troupeau, on retire les cornes des vaches pour qu’elles ne blessent pas leur congénères, voire l’éleveur.
Le le cahier des charges bio proscrit l’usage de pesticides de synthèse.
Le soja mis en œuvre est produit en France et en Europe. Il ne contribue pas à la déforestation.
La culture de soja et de légumineuse généralement est favorable à la biodiversité du sol, d’autant plus qu’elle s’inscrit dans des rotations longues et diversifiées.
Le soja fait partie des légumineuses. Les légumineuses fixent l’azote de l’air. Cela évite d’utiliser des engrais azotés de synthèse et donc l’utilisation importante d’énergie fossile. Il faut 1L de gaz (souvent Russe) pour produire 1kg d’engrais azoté de synthèse. Il n’est pas rare que des cultures non bio reçoivent plus de 100kg d’engrais azotés par hectare.
Cahier des charges bio
Les porcs charcutiers consomment essentiellement des céréales. Les surfaces dédiées à leur alimentation sont en concurrence directe avec celles consacrées à l’alimentation humaine.
L’épandage du fumier de ferme pour fertiliser les terres émet 2,7 fois moins d’oxydes d’azote que les engrais de synthèse (les Nox sont les gaz à effet de serre les plus puissants en agriculture et en agro-alimentaire).
Les effluents (déjections des porcs) émettent du méthane, et contribuent aux émissions de gaz à effet de serre des élevages.
Cet élevage a été nourri avec du soja et d’autres légumineuses françaises et européennes, évitant ainsi de contribuer à la déforestation importée (soja d’Amérique du Sud).
Le porc bio a accès à l’extérieur, n’est pas entravé, et sa litière est régulièrement entretenue et paillée, ce qui lui permet de satisfaire ses besoins (y compris éthologiques).
Contrairement à la pratique habituelle dans les élevages plus denses, la queue des cochons n’est pas coupée.
Cahier des charges bio
Les brebis ont accès à l’extérieur (estive en montagne). Les émissions d’ammoniac qui contribuent à la formation de particules fines et donc à la dégradation de la qualité de l’air, sont ainsi fortement réduites, de même que les pollutions dues aux nitrates.
En cas de problèmes de santé, les éleveurs privilégient la phytothérapie. L’usage des antibiotiques est strictement encadré et limité.
Dès que les conditions climatiques le permettent, les brebis sont au pré en bio!
Les prairies pâturées sont d’importants puits de carbone (une des rares activités humaines contribuant au stockage du carbone et non à son émission).
La brebis vit une vie de ruminant normale, elle mange très majoritairement de l’herbe et est à l’extérieur tant que la météo le permet (7 mois pour la brebis ayant donné son lait pour ce fromage).
Le recours à l’herbe diminue l’impact climatique de cet élevage. Cependant, la gestion des déjections et la rumination des vaches produit du méthane, un gaz à effet de serre puissant.
Le cahier des charges de l’AOP Reblochon garantit une longue période à l’herbe. La vache peut ainsi mener une vie normale de vache.
Le cahier des charges bio proscrit l’utilisation de pesticides de synthèse.
L’élevage en Amérique latine des bovins n’offre pas de garantie sur l’enjeu de déforestation (à la fois pour l’élevage et son aliment).
La déforestation en Amérique latine perturbe le climat à l’échelle planétaire.
Le cahier des charges bio s’attache à respecter les besoins de l’animal et à lui fournir de l’espace et un accès au plein air (minimum 6 mois dans les prairies).
A la fois les pommes de terre et le tournesol utilisé pour produire l’huile de ces chips ont reçu de nombreux traitements de pesticides de synthèse au champ et au stockage.
L’utilisation des pesticides nuit à l’équilibre des écosystèmes, notamment les néonicotinoïdes (tueurs d’abeilles) utilisés sur le tournesol de ces chips.
Les pommes de terre et le tournesol utilisé sont cultivés année après années, sur des grandes parcelles, n’offrant ainsi aucune biodiversité.
Le cahier des charges bio proscrit les pesticides de synthèse au champ et au stockage.
Cette clémentine, quand elle prend l’avion pour venir d’Afrique du Sud contribue au réchauffement climatique. Quand elle vient d’Europe par bateau ou en train, son transport est bien moins impactant.
L’élevage de ce boeuf est intensif avec un nourriture largement composée de grains qui sont traités avec des pesticides au champ et au stockage.
Majoritairement nourri de grains à bas prix, ce produit n’offre aucune garanties sur l’absence d’OGM dans les rations.
Ce produit importé d’Amérique latine a contribué à la progression du front de déforestation.
L’élevage par l’émission directe de méthane des bovins, la production d’ammoniac et la gestion des déjections contribue à l’émission de gaz à effet de serre et au changement climatique.
L’élevage est intensif et ne fournit ni assez d’espace, ni une nourriture, ni une qualité de l’air permettant aux bœufs de satisfaire leur besoins physiologiques.
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